La couleur est mon obsession quotidienne, ma joie et mon tourment.

Je dois avoir des fleurs, toujours, et toujours.

Tout le monde discute de mon art et fait semblant de comprendre, comme s'il fallait comprendre, alors qu'il faut simplement aimer.

Mon jardin est mon plus beau chef d'oeuvre

Je voudrais peindre la façon dont un oiseau chante.

plus je vis, plus je regrette le peu que je sais

C'est à force d'observation et de réflexion que l'on trouve une voie. Il faut donc creuser et fouiller sans cesse.

Je ne fais pas de miracles, j'utilise et gaspille beaucoup de peinture...

La richesse que j'atteins vient de la nature, source de mon inspiration.

Chaque jour je découvre de plus en plus de belles choses. C'est assez pour en rendre fou. J'ai tellement envie de tout faire, j'en ai la tête pleine.

Je dois peut-être être devenu peintre aux fleurs.

Ce qui garde mon cœur éveillé, c'est le silence coloré.

Si le monde ressemble vraiment à ça, je ne peindrai plus !

Je ne peux dessiner que ce que je vois.

Je deviens de plus en plus fou en rendant ce que je ressens.

Je ne pense pas être faite pour un plaisir terrestre.

Je veux peindre comme un oiseau chante.

…Chaque jour je découvre encore plus de belles choses. Ça m'enivre et j'ai envie de tout peindre - j'ai la tête qui éclate...

Impression, j'en étais certain. Je me disais juste que, puisque j'étais impressionné, il fallait qu'il y ait de l'impression là-dedans… et quelle liberté, quelle facilité de fabrication ! Le papier peint à l'état embryonnaire est plus fini que ce paysage marin.

Plus j'avance, plus je regrette le peu que je sais...

Personne d'autre que moi-même ne connaît l'anxiété que je traverse et le mal que je me donne...

Les gens discutent de mon art et font semblant de comprendre comme s'il fallait comprendre, alors qu'il faut simplement aimer.

Mon jardin est un travail lent, poursuivi avec amour et je ne vous cache pas que j'en suis fier. Il y a quarante ans, quand je me suis installé ici, il n'y avait qu'une ferme et un pauvre verger... J'ai acheté la maison et petit à petit je l'ai agrandie et organisée... J'ai creusé, semé, désherbé moi-même ; le soir, les enfants s'abreuvaient.

Nul n'est artiste s'il ne porte son tableau dans sa tête avant de le peindre, et s'il n'est sûr de sa méthode et de sa composition.

Je suis la nature sans pouvoir la saisir, je dois peut-être être devenu peintre aux fleurs.

Tout le monde discute de mon art et fait semblant de comprendre, comme s'il fallait comprendre, alors qu'il faut simplement aimer.

Ma vie n'a été qu'un échec.

Je ne pense pas être faite pour un plaisir terrestre.

Pour voir, il faut oublier le nom de la chose que l'on regarde.

Peignez ce que vous voyez vraiment, pas ce que vous pensez devoir voir ; non pas l'objet isolé comme dans une éprouvette, mais l'objet enveloppé de lumière solaire et d'atmosphère, avec le dôme bleu du Ciel reflété dans l'ombre.

La lumière change constamment, et cela modifie l'atmosphère et la beauté des choses à chaque minute.

C'est à force d'observation et de réflexion que l'on trouve une voie. Il faut donc creuser et fouiller sans cesse.

Je veux l'introuvable. D'autres artistes peignent un pont, une maison, un bateau, et c'est la fin. Ils sont finis. Je veux peindre l'air qui entoure le pont, la maison, le bateau, la beauté de l'air dans lequel se trouvent ces objets, et c'est tout simplement impossible.

Lorsque vous sortez pour peindre, essayez d'oublier les objets que vous avez devant vous - un arbre, une maison, un champ... Pensez simplement, voici un petit carré de bleu, ici un oblong de rose, ici une traînée de jaune , et peignez-le tel qu'il vous semble, la couleur et la forme exactes, jusqu'à ce qu'il donne votre propre impression naïve de la scène devant vous.

Tout le monde discute de mon art et fait semblant de comprendre, comme s'il fallait comprendre, alors qu'il faut simplement aimer.

Je n'ai fait que regarder ce que l'univers me montrait, laisser mon pinceau en témoigner.

Citations célèbres sur Claude Monet

C'est pourquoi je suis très heureux de décrire l'Orangerie des Tuileries comme la Chapelle Sixtine de l'Impressionnisme. Un site désert au cœur de Paris, une consécration de l'inaccessible. Ce que nous avons ici est un des sommets du génie français..."

André Masson, Monet le fondateur